Le 23 juin dernier, l’Église inaugurait dans une ambiance festive et ensoleillée son nouveau presbytère au terme de deux années de montages juridique et financier, puis de construction.
Dans un contexte locatif bordelais de plus en plus onéreux, l’Église avait pris la décision en Assemblée Générale de s’engager dans ce projet. Les avantages réels de cette réalisation ouvrent des perspectives réjouissantes pour la vie de l’Église et son témoignage : la fin de versement locatif à perte, les remboursements mensuels d’un prêt bancaire sur 15 ans (il reste 13 années et demi !) inférieurs au prix de la location précédente et à un taux très intéressant, la proximité de la famille pastorale de l’église et du voisinage pour mieux participer à son rayonnement : tout cela est réjouissant. Nous avons le sentiment d’avoir été conduits par la main de Dieu tout au long de cette aventure.
Au cours de ce vernissage plusieurs voisins étaient présents en signe de relations amicales.
Au programme de cette journée était prévue (et finalement reportée), l’installation d’une plaque sur le mur du presbytère et un banc en pierre sous l’olivier devant l’église. Sur la plaque « presbytérale », une référence biblique : « Moi et ma maison… » (Josué 24.15), les points de suspension invitant chaque famille pastorale, aujourd’hui et demain, sa façon d’habiter son service. Sous le banc, une capsule temporelle a été déposée en terre contenant le nom et la profession des membres, quelques textes historiques et fondateurs de l’Église Évangélique Libre de Bordeaux-Pessac.
Nous remercions l’Église pour son engagement dans cette grande aventure. Nous remercions aussi les personnes qui se sont lancées avec foi et enthousiasme dans la réalisation pratique de ce projet et en particulier, Michaël Chamard, Marc Monbec, Stéphane Siounath, Eliott Dobozy et les équipes de bénévoles qui ont donné du temps. Merci à Bruno Moreau pour l’organisation du grand apéritif de ce jour inaugural. Nous sommes reconnaissants pour la force des liens spirituels et amicaux qui nous ont unis tout au long de cette aventure. Émerveillés, nous reconnaissons ensemble que l’Éternel a lui-même bâti cette maison et que les ouvriers n’ont pas travaillé en vain ! (Psaume 127.1)